mardi 17 décembre 2013

Tunisie divisée: les islamistes cèdent le pouvoir (NY Times)


Photographie du leader d'Ennahda (parti islamiste) Rachid Ghannouchi

 Depuis le début du printemps arabe j'ai réservé quelques entrées sur mon carnet web à la situation en Tunisie. je tentais de le faire dans le cadre des activités de mon carnet (tout ce qui touche à l'histoire ou à la politique intérieure et étrangère des États-Unis), mais aussi parce qu'après des séjours en Tunisie j'ai développé un attachement particulier pour ce pays et ses habitants qui nous ont si bien traités mes étudiants, mes collègues et moi. Je ne peux que souhaiter que les événements actuels permettent le développement d'un climat politique plus stable. Il y a bien des gens dont je n'ai plus entendu parlé depuis quelques années et j'espère qu'ils n'ont pas trop souffert de tous les bouleversements...

 "Tunisia had been careening toward chaos and political paralysis after two assassinations this year and an inability to finalize a new constitution, and it remains fragile and divided. But months of laborious back-room haggling led by two political leaders helped, at least for now, to avoid the kind of zero-sum politics that have come to define the post-Arab Spring tumult in Egypt, Libya and the battlefield of Syria.

 Beji Caid Essebsi, a former prime minister who leads a new secular-minded political party, Nidaa Tounes, and Rachid Ghannouchi, the leader of the Islamist party Ennahda, have starkly different visions of the country’s future. But since Tunisia’s political crisis flared this year, the two men have met one on one at least five times to try to find a political solution.

It has not been easy for either side, and in an indication of just how deep the divisions remain, the two could still not agree on a candidate to serve as interim prime minister. When the deal was announced late Saturday, between Ennahda and about half of the liberal parties in the opposition, Mehdi Jomaa, 50, the industry minister, was chosen as interim prime minister. But Mr. Essebsi did not sign on and could conceivably block cabinet picks.

 L'article au complet:
http://www.nytimes.com/2013/12/17/world/africa/a-political-deal-in-a-deeply-divided-tunisia-as-islamists-agree-to-yield-power.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20131217&_r=0

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