vendredi 29 juin 2018

Ce carnet fait relâche

"Beach" par Toni Thorne 

 Je m'accorde une petite pause familiale avant de replonger dans la couverture de l'actualité américaine. À mon retour je sens que tout se déroulera encore très vite alors que le président Trump continue ses guerres commerciales et qu'on attend avec impatience des dénouements dans l'enquête de Robert Mueller. Sans oublier la nomination d'un nouveau juge à la Cour suprême, le sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump ou le suivi des élections de mi-mandat.

 Merci une fois de plus à ceux et celles qui consultent régulièrement mon carnet (en moyenne 30 000 visites par mois) et j'espère vous retrouver à mon retour. Mes collaborations dans les médias vont reprendre en même temps que les activités du carnet.

jeudi 28 juin 2018

Caricature tuerie au Capital Gazette

Caricature de Milt Priggee, Oak Harbor, WA

Caricature le cauchemar démocrate

Caricature de Rick McKee, The Augusta Chronicle, GA

Caricature Anthony Kennedy quitte-t-il au bon moment?

Caricature d'Adam Zyglis, The Buffalo News, NY

Caricature les États-Unis de Donald Trump

Caricature de Bill Day, Tallahassee, FL

Collaboration dans "Radio-Canada cet après-midi": Cour suprême, sommet Trump-Poutine et victoire spectaculaire d'Alexandria Ocasio-Cortez dans New York


Nos échanges à 17h43 sur l'audio fil du 28 juin:
https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/radio-canada-cet-apres-midi

Caricature Anthony Kennedy à la retraite

Caricature de Bob Englehart, Middletown, CT

Caricature Donald Trump et "sa" Cour suprême

Caricature de David Fitzsimmons, The Arizona Star, Tucson, AZ

Une référence à La servante écarlate...

mardi 26 juin 2018

Caricature Donald Trump enflamme ses partisans!

Caricature de David Fitzsimmons, The Arizona Star, Tucson, AZ

Donald Trump sert un avertissement à Harley Davidson


Une guerre commerciale... À l'interne?

 "The public attack by the president on Harley is likely to further frustrate Republicans, who have been increasingly worried about the fallout from Mr. Trump’s trade war.%% Speaker Paul D. Ryan, the Republican from Harley’s home state of Wisconsin, said on Monday that the company’s move was a sign that unilateral tariffs do not work."

https://www.nytimes.com/2018/06/26/business/trump-harley-davidson-tariffs.html?hp&action=click&pgtype=Homepage&clickSource=story-heading&module=first-column-region&region=top-news&WT.nav=top-news

Jimmy Fallon peut-il ignorer Donald Trump?


Alors que des concurrents comme Stephen Colbert ou Jimmy Kimmel n'hésitent pas à entrer dans l'arène politique pour dénoncer ou commenter, Jimmy Fallon se contente habituellement de distraire et de faire rire. Sévèrement critiqué pour l'entrevue complaisante réalisée avec le candidat Trump en 2016, Fallon a été attaqué par le président récemment. L'animateur du Tonight Show peut-il conserver la même stratégie ou doit-il devenir un peu plus politique?

 "Fallon’s mistake is that he seems to think he’s still broadcasting in the era of his hero Johnny Carson (who hosted The Tonight Show from 1962 to 1992). But Carson began hosting in an era of three TV channels; now, the American media landscape is splintered to the extreme. Fallon’s vision of a relaxing program that just helps viewers unwind is perfectly inoffensive, but it’s one that’s ill-suited for guest appearances by political candidates (whom he’d never want to ask uncomfortable questions of). The challenge Fallon faces in making a pointedly friendly talk show in 2018 is that every aspect of American life that he might seek to satirize—family, health, pop culture, sports, jobs—feels filtered through the political moment."

  https://www.theatlantic.com/entertainment/archive/2018/06/jimmy-fallon-cant-ignore-donald-trump/563693/

Caricature Harley Davidson quitte

Caricature de Randall Enos, Easton, CT

Caricature Cour suprême et décret migratoire

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com 

 Contrairement à la première mouture rédigée à la hâte et bâclée, le décret migratoire de l'administration a été validé par le plus haut tribunal du pays. On reconnaît au président le pouvoir de légiférer en matière d'immigration et son récent décret ne revêtirait pas un caractère anti-musulman. Je précise que le jugement s'est fait selon le "partage idéologique" des membres de la Cour suprême. Les cinq juges plus conservateurs ont appuyé le décret alors que les quatre plus progressistes s'y sont opposés.

La dette fédérale à son plus haut niveau depuis la Deuxième Guerre Mondiale


Les chiffres proviennent du Congressional Budget Office. À la différence des autres hausses de la dette, celle-ci survient dans une période économique stable. Les baisses de taxes consenties l'an dernier ont contribué à cette hausse. Les meneurs républicains sont particulièrement discrets sur les effets néfastes de leurs politiques actuelles.

 "The 1946 high was prompted by a spending push to fund World War II, and other spikes in the debt have been driven by economic downturns. But the current bump comes amid a relatively healthy economy, suggesting a structural gap between how much the country collects in taxes and how much it spends.

The “debt to GDP” measurement compares the overall amount of debt held by the federal government with the size of the entire American economy. Economists use the comparison to illustrate the scope of the deficit, providing a comparison that takes into account inflation and overall economic growth.

 The long-term deficit analysis CBO released Tuesday goes beyond its typical assessments of budget outlooks within the next decade. The analysis makes clear that the deficit projections are impossible to gauge with complete precision, in part because it cannot account for unforeseen changes to federal policy, economic trends or global events.

The CBO projects the Republican tax law passed last fall will add $1.84 trillion to the federal deficit over the next 10 years. Republican leaders have argued the cuts will jump-start the economy, creating enough economic growth to offset much of their additions to the debt. But CBO and other nonpartisan analysts have repeatedly rejected that claim."

https://www.washingtonpost.com/news/wonk/wp/2018/06/26/the-federal-debt-is-headed-for-the-highest-levels-since-world-war-ii-cbo-says/?utm_term=.7ffcb0e409b2

Caricature Trump réunit les familles

Caricature de Patrick Chappatte, The New York Times

Caricature Harley Davidson et la guerre commerciale

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Collaboration dans "Radio-Canada cet après-midi": dossier des migrants, des touristes du Québec boudent les États-Unis et guerre de Corée


Je retrouvais Marie Grégoire à l'animation pour toute la période estivale. Nos échanges à 17h40 sur l'audio fil du 25 juin:
https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/radio-canada-cet-apres-midi

Caricature Sarah Hukabee-Sanders invitée au "resto"

Caricature de Steve Sack, The Minneapolis Star-Tribune, MN
Si le Red Hen ne veut plus de la clientèle de l'administration Trump, les centres qui accueillent les enfants de migrants pourraient bien accueillir la porte-parole de la Maison Blanche.

lundi 25 juin 2018

Caricature réunir les familles de migrants: le plan de l'administration Trump

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Caricature Turquie terminal de la démocratie?

Caricature de Tom Janssen, The Netherlands

Legacy Museum and the National Memorial for Peace and Justice: les horreurs du suprémacisme blanc ( Margaret Renkl, New York Times)


J'ai mentionné l'ouverture de ce musée lors d'une de mes contributions radiophoniques, mais je n'ai pas eu l'opportunité de le visiter. Voici ce qu'en dit Margaret Renkl dans le New York Times d'aujourd'hui. Si généralement dans un musée on s'attend à retrouver des témoignages du passé, le message des suprémacistes blancs est malheureusement encore véhiculé en 2018. Sur cette question et sur quelques autres, les États-Unis avancent lentement, trop lentement.

 "Here’s the truth about the ubiquity of racism: I’m 56 years old, and there’s a bleeding column in that memorial for every place I’ve ever lived.

The sheer numbers are devastating, but it’s their placement that works most powerfully to convey the magnitude of loss. They are mounted at eye level as visitors first enter that part of the memorial, but as the floor slopes downward, the columns begin to rise. About halfway down the walkway, looking up and straining to read the engraved names, visitors suddenly realize that they are standing beneath a representation of bodies that have been hung from nooses and left to dangle there.

“God, they just go on and on,” I whispered to my husband. A black man standing nearby turned and looked at me. I couldn’t read his expression."

https://www.nytimes.com/2018/06/25/opinion/legacy-museum-white-supremacy-lynchings.html?action=click&pgtype=Homepage&clickSource=story-heading&module=opinion-c-col-left-region&region=opinion-c-col-left-region&WT.nav=opinion-c-col-left-region

"Pourquoi nous quittons le Parti républicain" (Susan Bevan et Susan Cullman)


Dans le New York Times de ce matin Susan Bevan et Susan Cullman expliquent pourquoi elles ont décidé de se tourner contre leur formation politique. Si leurs premiers doutes ont des racines lointaines (elles se sont démenées au sein de la formation politique pour favoriser la faction pro-choix), la présidence Trump a accéléré leur décision. Si leur message est entendu, les femmes pourraient bien décider du sort de plusieurs élections. On peut également dégager de leur prise de position que le Parti républicain se radicalise.

 "Lifelong Republicans were booed out of state and local committee meetings for just raising abortion rights and family planning ideas. The nastiness escalated to personal attacks on men and women who had dedicated countless hours and dollars to the party.

We don’t have the space to outline President Trump’s transgressions, but it is important to understand that his rise is an inevitable result of the hostility to women within the Republican culture. Women’s reproductive freedom has shifted with the wind: Remember that Ronald Reagan once supported abortion rights, as did George H. W. Bush, Mitt Romney and Mr. Trump himself.

We can no longer support a Republican Party that is shutting down low-cost health care clinics offering cancer screenings, basic health services and much-needed family planning services. It has become a party that wants to punish pregnant women by limiting their economic choices, that wants to reduce access to sex education programs that prevent unintended pregnancy and disease."

https://www.nytimes.com/2018/06/24/opinion/abortion-rights-republican-party-women.html?action=click&pgtype=Homepage&clickSource=story-heading&module=opinion-c-col-left-region&region=opinion-c-col-left-region&WT.nav=opinion-c-col-left-region

Caricature Erdogan vainqueur en Turquie

Caricature de Rainer Hachfeld, Neues Deutschland, Germany

Caricature Trumpschwitz

Caricature d'Ed Wexler, CagleCartoons.com

dimanche 24 juin 2018

Caricature "Space force": un projet plafonné?

Caricature de John Cole, The Scranton Times-Tribune, PA

Caricature manoeuvres militaires Corée du Nord et États-Unis

Caricature de Michael Ramirez - Creators

Caricature le nouveau rêve américain

Caricature d'Osmani Simanca, Brazil

Caricature le cabinet Trump discute d'immigration...

Caricature de Matt Wuerker/POLITICO

Création d'une "Space force": une bonne idée?


Si plusieurs commentateurs ont balayé du revers de la main la volonté du président Trump de créer une "Space force", d'autres en revanche y voient une bonne idée.

 "The satellites help guide aircraft carriers in the Persian Gulf, drones in the skies above Yemen and fighter jets over Syria. American ground troops on patrol in Afghanistan use GPS coordinates to track their movements, and intelligence officers at C.I.A. headquarters in Langley, Va., depend on spy satellites to gather information on adversaries.

“Everything the U.S. military does today relies on space,” said Brian Weeden, the director of program planning at the Secure World Foundation, a nongovernmental organization that studies space policy. Take drones, for instance, he said. “Their signals are routed over satellites. Data is routed over satellites. Intelligence satellites do the B.D.A. after strikes,” he added, referring to battle damage assessments the military makes to determine whether targets have been destroyed." 

https://www.nytimes.com/2018/06/23/us/politics/trump-space-force-military.html?hp&action=click&pgtype=Homepage&clickSource=story-heading&module=second-column-region&region=top-news&WT.nav=top-news

Harry Truman justifie le recours à l'arme nucléaire: les archives du magazine "The Atlantic"


Dans une lettre publiée en 1947 le président Harry Truman justifiait le recours à l'arme nucléaire pour freiner le Japon. Les implications morales de l'utilisation de cette arme terrifiante demeurent pertinentes en 2018.

 "The Japanese were given fair warning, and were offered the terms which they finally accepted, well in advance of the dropping of the bomb. I imagine the bomb caused them to accept the terms."

  https://www.theatlantic.com/letters/archive/2018/06/archival-letters-when-harry-truman-weighed-in-on-the-atlantics-nuclear-counterfactual/560348/

Caricature Melania et les tendances de la mode

Caricature de Jeff Koterba, Omaha World Herald, NE

Caricature Charles Krauthammer 1950-2018

Caricature de Rick McKee, The Augusta Chronicle, GA 

 J'avais relayé il y a plusieurs jours le message dans lequel le penseur conservateur, se sachant condamné,  faisait ses adieux. Il est décédé le 21 juin.

Caricature États-Unis infestés

Caricature de John Cole, The Scranton Times-Tribune, PA

jeudi 21 juin 2018

Le retrait des États-Unis met en évidence les lacunes du Conseil des droits de l'homme


Si on a déploré le retrait américain du Conseil des droits de l'homme, il faut également souligner que malgré des objectifs honorables ce regroupement souffre de certaines lacunes. Pour assurer une représentation géographique équitable on laisse participer certains pays dont le bilan au chapitre au chapitre du respect des droits de l'homme est pour le moins discutable. L'attitude américaine est ferme et on ne peut que souhaiter que ce poids des Nations-Unies réintègre les rangs du Conseil, mais les objections soulevées sont légitimes.

 "Consider the current members of the Council: Venezuela, where President Nicolas Maduro has strangled the political opposition and free speech; the Philippines, where President Rodrigo Duterte’s policies have resulted in extrajudicial killings of suspected drug dealers; Ethiopia, where a state of emergency in place since February gives the government draconian powers that it wields liberally; Cuba, where the idea of human rights have been discarded for decades; Hungary, where Prime Minister Viktor Orban’s policies have targeted the media, the opposition, civil-society groups, and immigrants; Saudi Arabia, where widespread abuses and arbitrary arrests continue; China, which has long stifled dissent; and Egypt, which has effectively banned any criticism of the government.

Amid this, the U.S. departure was not unexpected. Last year Haley said that unless there were changes within the Council, the U.S. would “pursue the advancement of human rights outside of the Council.” She repeated those remarks Tuesday, noting: “For too long, the Human Rights Council has been a protector of human rights abusers.”

https://www.theatlantic.com/international/archive/2018/06/us-un-human-rights/563276/

Caricature Donald Trump alerte Amber

Caricature de Steve Sack, The Minneapolis Star-Tribune, MN 

 Si on doute déjà de la légalité du décret signé hier par le président Trump, rien n'est prévu pour le retour ans leur famille des enfants déjà détenus...

mercredi 20 juin 2018

Le jour où Trump a cédé


Après avoir imposé la manière forte en provoquant la séparation des familles le président Trump a finalement accepté de reculer.

 "His ultimate reversal was all the more remarkable because the immigration and border security has been his signature political issue, one that has energized his political base and helped elevate him to office.

 It came as a rare combination of forces collided, ultimately moving the stubborn commander in chief: political pushback from Republicans in Congress, including typically staunch allies; private pressure from his family members, including his eldest daughter and his wife; and, most importantly, wall-to-wall media coverage broadcasting to the country images of frightened children and the sounds of their sobs from inside government-run facilities.

“Trump has proved remarkably impervious to elite and media criticism, but even he couldn’t withstand this,” said Rich Lowry, editor of National Review. “The new policy is a tactical retreat in hopes of regaining political traction, but family separations of the sort we’ve seen over the last couple of months are not going to return.”

https://www.politico.com/story/2018/06/20/trump-caves-family-separation-660870

Caricature Donald Trump est le problème et la solution!

Caricature de Kevin Siers, The Charlotte Observer, NC

Caricature le Canada légalise la marijuana

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Kirstjen Nielsen au travail pour mettre fin à la séparation des familles


À son arrivée dans l'entourage de Donald Trump je considérais l'ajout de Kirstjen Nielsen comme un gain pour l'administration. John Kelly appuyait chaleureusement sa nomination, mais depuis elle doit essuyer de dures critiques. Hier elle s'est portée à la défense de son président dans le dossier des migrants. Elle-même en désaccord avec la séparation des familles, elle a opté pour la loyauté même si sa réputation risque d'en souffrir. Selon POLITICO la responsable de la sécurité nationale plancherait sur une modification de la politique. Depuis deux jours je répète que le président jouit de privilèges qui lui permettent d'intervenir directement dans ce dossier sans passer par le Congrès. Donald Trump acceptera-t-il le plan de Mme Nielsen?

 "Trump is often hesitant to backtrack on his policy pronouncements, viewing such shifts as a sign of weakness. But some of his outside advisers believe the status quo is increasingly unsustainable, especially with a cascade of searing stories from the border describing children being kept in cages, leaked audio of separated children wailing for their parents and the plans for facilities to house very young children."

  https://www.politico.com/story/2018/06/20/im-ashamed-of-what-theyre-doing-backlash-grows-for-trump-and-his-aides-655498

Caricature Space Force One

Caricature de RJ Matson, CQ Roll Call

Caricature sécurité à la frontière mode d'emploi

Caricature de Bill Schorr, PoliticalCartoons.com

Fake news: qui distingue les faits des opinions? (Pew Research Center)


Des chiffres qui m'inquiètent dans ce récent coup de sonde du Pew Research Center. J'en parle souvent lors de mes interventions dans médias parce que nous vivons à l'ère des réseaux sociaux et de l'opinion instantanée. Qui, dans sa vie quotidienne, prend le temps de valider les informations qu'on leur présente et de quelle manière? C'est mon travail d'analyser et commenter la politique américaine et parfois je suis étourdi par la quantité de faits à vérifier.

 Il semble que chez nos voisins du sud faits et opinions puissent être confondues...  Et on s'étonne de la popularité de Donald Trump? Un remède? Les enseignants et les analystes peuvent contribuer à développer des compétences de recherche. Ça ne règle pas tout, mais ce serait déjà une avancée intéressante.

 "The findings from the survey, conducted between Feb. 22 and March 8, 2018, reveal that even this basic task presents a challenge. The main portion of the study, which measured the public’s ability to distinguish between five factual statements and five opinion statements, found that a majority of Americans correctly identified at least three of the five statements in each set. But this result is only a little better than random guesses. Far fewer Americans got all five correct, and roughly a quarter got most or all wrong. Even more revealing is that certain Americans do far better at parsing through this content than others. Those with high political awareness, those who are very digitally savvy and those who place high levels of trust in the news media are better able than others to accurately identify news-related statements as factual or opinion.

 For example, 36% of Americans with high levels of political awareness (those who are knowledgeable about politics and regularly get political news) correctly identified all five factual news statements, compared with about half as many (17%) of those with low political awareness. Similarly, 44% of the very digitally savvy (those who are highly confident in using digital devices and regularly use the internet) identified all five opinion statements correctly versus 21% of those who are not as technologically savvy. And though political awareness and digital savviness are related to education in predictable ways, these relationships persist even when accounting for an individual’s education level."

http://www.journalism.org/2018/06/18/distinguishing-between-factual-and-opinion-statements-in-the-news/

Caricature immigration et poker politique

Caricature de Nate Beeler, The Columbus Dispatch, OH

Que fait le Conseil des droits de l'homme de l'ONU?


Les États-Unis ont annoncé qu'ils se retiraient du Conseil des droits de l'homme. The Atlantic revient ce matin sur cette décision tout en précisant le rôle du conseil.

 "What does the council actually do, then? Each year, the 47-member body issues a “Universal Periodic Review,” an evaluation of the human-rights conditions of all 193 UN member countries. It also produces reports on issues like the use of chemical weapons in Syria, enforced disappearances, and the rights of children and people with disabilities around the world. The council’s many independent experts carry “the UN’s blue flag to dark prison cells and homeless shelters to document abuses of international law and demand remedies from local and national governments,” wrote Ted Piccone, a senior fellow at the Brookings Institution. In December 2017, the council held an important special session on the human rights nightmare facing the Rohingya Muslims in Myanmar. (The UN Security Council has refused to act.)

Sitting on the council allows the United States to participate in an ongoing conversation on human rights. It is certainly problematic that Venezuela and the Democratic Republic of Congo, countries with atrocious human rights records, also have seats on the Human Rights Council. But members are voted on by the UN General Assembly, and each of five major regions of the world (Africa, Western Europe, Eastern Europe, Latin America, and Asia-Pacific) receives a certain number. For all its flaws, the council has allowed the United States to demonstrate its commitment to human rights and dignity very publicly. Being a member at least signals an interest in accountability—if not of a country’s own policies, then at least those of others."

https://www.theatlantic.com/international/archive/2018/06/trump-haley-un-human-rights-israel-venezuela-withdrawal/563246/

Les Tours de Laliberté migrent: rejoignez-moi sur le site du Journal de Québec et du Journal de Montréal

Depuis un certain temps je me demandais comment faire évoluer mon petit carnet web. La réponse m'est parvenue par le biais d'u...