dimanche 15 septembre 2019

Les agents de la police frontalière n'ont plus le moral.


Depuis que Donald Trump en entré dans la course en 2015 le thème de la sécurité à la frontière revient constamment dans l'actualité. Presque tous les angles ont été abordés, du combat législatif aux conditions de détention des illégaux. Le New York Times traite cette fois la question sous l'angle de ceux qui appliquent les directives administratives et qui se retrouvent sur la ligne de feu. Les agents déplorent tous que leur travail est de plus en plus difficile. 

 "In a written account of her time at the agency, Ms. Budd described women being forced to perform oral sex on fellow agents and subjected to humiliating labels. “I never, ever met a female agent that was not targeted by the male agents,” she said.

The job has taken a psychological toll on men and women alike.

From 2007 to 2018, more than 100 Customs and Border Protection employees, many of whom had worked as Border Patrol agents, killed themselves. Ross Davidson, who retired in 2017 after 21 years with the agency, said he was certain that stress from the job has been a factor."

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