mardi 17 décembre 2013

Homeland denier épisode de la saison 3: critique dans le New York Times


J'aime bien l'allusion à la série "24" dans cet article, mais on ne regarde pas ces deux séries pour les même raisons. Dans le premier cas c'est surtout le suspense, l'action continue et la "réflexion" sur le recours à la torture qui me captivaient, alors que pour Homeland les personnages sont plus étoffés, un rythme plus lent, mais une psychologie plus développée. Dans les deux cas cependant, je suis fasciné par la récupération de l'actualité. "24" a largement bénéficié des retombées de la guerre au terrorisme à une époque où l'administration Bush justifiait plusieurs de ses politiques par la peur. Homeland m'a impressionné par la richesse des situations inspirées des relations avec l'Iran. Au moins deux de mes chroniques à Radio-canada pouvaient se retrouver dans des épisodes de la série. On ne se demande plus pourquoi la Maison Blanche fait parfois appel à des scénaristes pour réfléchir à diverses possibilités d'attentats. Il semble que les scénaristes tirent beaucoup de contenu de ces échanges.

 "Mr. Lewis is a remarkably talented actor who manages to convey every nuance of Brody’s multiple, ever-changing identities. But Brody’s doomed love affair with Carrie lost some of its zing with second chances. When the two were alone at last in a rustic, candlelit Iranian safe house — a Persian version of the lakeside cottage where they first had sex — it was hard not to smirk a bit.

 The poignancy of their last moments, making eye contact across a wire fence and crowds of angry Iranian demonstrators, was undercut by faint hints and visual red herrings, allowing viewers to believe that Brody would somehow escape the noose at the last second.

Carrie, however, sees firsthand that he is a goner. As he dangles from the neck, she even climbs the fence calling his name, and an Iranian guard hits the barrier hard with a riot stick, causing her to fall and miss his final death throes.

 There was nothing unbelievable about the final outcome, and that too was a little anticlimactic. It turns out that Saul’s efforts to infiltrate the Iranian government worked: As they relax over the morning newspaper, Mira reads a headline saying the Iranians have agreed to pause their nuclear program if the West removes sanctions — a breakthrough that in real life is unfolding in real time.

http://www.nytimes.com/2013/12/17/arts/television/shock-but-no-awe-in-homeland-seasons-end.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20131217

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