lundi 23 juillet 2018

Caricature Hassan Rohani et Twitter...

Caricature de Jeff Koterba, Omaha World Herald, NE

Caricature Hassan Rohani consulte Kim Jong-Un

Caricature de Kevin Siers, The Charlotte Observer, NC

Donald retirera-t-il les habilitations de sécurité des anciens chefs des renseignements?


En colère contre l'ancien directeur de la CIA John Brennan, Donald Trump songerait à retirer les habilitations de sécurité de plusieurs anciens chefs des divers services de renseignements. Plusieurs d'entre eux interviennent régulièrement dans les médias et ils sont souvent critiques du comportement ou des déclarations du chef de l'exécutif. Si le président des États-Unis dispose du pouvoir de révoquer ces habilitations, il ne le fait pour ainsi dire jamais.

 "It’s unclear on what grounds the White House could try to take away the former officials’ clearances. It’s also unclear how much preparation they did before making this announcement. McCabe’s spokesperson Melissa Schwartz, for example, tweeted that McCabe no longer has a clearance. “Andrew McCabe’s security clearance was deactivated when he was terminated, according to what we were told was FBI policy,” she wrote on Twitter. “You would think the White House would check with the FBI before trying to throw shiny objects to the press corps…” Hayden told The Atlantic that although he occasionally gets called back in to the agencies to offer his perspective on something, he doesn’t attend classified briefings. “Won’t have any impact on what I say or write,” Hayden said. He added that the president “has absolute authority” to revoke clearances."

  https://www.theatlantic.com/politics/archive/2018/07/muzzling-the-deep-states-talking-heads/565910/

Collaboration dans "Radio-Canada cet après-midi": encore la Russie, menaces contre l'Iran et le film "Chappaquiddick"


Nos échabges à 17h46 sur l'audio fil du 23 juillet:
  https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/radio-canada-cet-apres-midi

Caricature Américains et Iraniens se menacent

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Caricature roulette russe

Caricature d'Adam Zyglis, The Buffalo News, NY

Caricature Donald Trump et les enregistrements de Michael Cohen

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Caricature Vladimir Poutine contre Robert Mueller

Caricature d'Ed Wexler, Los Angeles, CA

mercredi 18 juillet 2018

Caricature James Comey encourage ses concitoyens à voter pour les Démocrates

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Caricature Donald Trump veut deux services de communication pour la Maison Blanche

Caricature de Rick McKee, The Augusta Chronicle, GA

William Browder et Michael McFaul abandonnés par Donald Trump?


Alors que certains observateurs et adversaires de Donald Trump ont évoqué une possible trahison de la part du président puisqu'il a hésité à défendre ses services de renseignements face à Vladimir Poutine, une autre histoire obtient moins de couverture médiatique, mais elle est particulièrement troublante. William Browder est un investisseur dont l'avocat avait été emprisonné en Russie en 2009 après avoir dévoilé une grave fraude fiscale commise par des fonctionnaires russes. L'homme, Sergueï Magnitski, est décédé en prison dans des circonstances étranges. Après son décès plusieurs pays adopteront des lois dites "Magnitski" à l'aide desquelles on impose des sanctions à la Russie qui ne respecterait pas les droits de l'homme. William Browder, né aux États-Unis, est actuellement au Royaume-Uni où il dit craindre pour sa sécurité. C'est Vladimir Poutine lui-même qui a mentionné son nom lors de la conférence de presse de la récente rencontre d'Helsinki. Michael McFaul est un ancien ambassadeur américain en Russie sous Barack Obama. Il semble que le président russe aimerait également l'entendre dans le cadre d'une enquête sur William Browder. Donald Trump permettrait-il à la Russie de "discuter" avec les deux hommes? Comme les deux craignent pour leur vie, la question n'est pas banale et Sarah Huckabee Sanders n'a rien fait pour calmer le jeu un peu plus tôt aujourd'hui,

 "It would be an extraordinary step to allow Russian investigators access to current or former U.S. officials. Browder, though born in the U.S., is now a British citizen, so it is unclear how a deal involving him would work.

 The U.S. does not currently have an extradition treaty with Russia. U.S. Ambassador to Russia Jon Huntsman said Sunday on NBC that Moscow would “no doubt” try to change that."

  https://www.politico.com/story/2018/07/18/trump-russia-browder-mcfaul-questioning-731616

Caricature Helsinki et la trahison

Caricature de Wolverton, Battle Ground, WA

mardi 17 juillet 2018

Caricature Donald Trump et le nouvel ordre mondial

Caricature de Matt Wuerker, POLITICO

Caricature Trump pose un genoux au sol...

Caricature de Pat Bagley, The Salt Lake Tribune, UT

Caricature Vladimir Poutine au sommet

Caricature d'Adam Zyglis, The Buffalo News, NY

Donald Trump embrasse-t-il le nouvel ordre mondial de Vladimir Poutine?


Je ne crois pas me tromper en affirmant que bien des analystes tentent de trouver une logique au comportement du président face à la Russie de Vladimir Poutine. Voici un point de vue sur le site de POLITICO.

 "For Trump, who often expresses his views on trade and economics as a zero-sum game, his friendliness toward a country or region can be measured by the degree to which they are seen as an economic threat to the U.S., experts noted. By that measure, Europe and Canada are far scarier than Russia — despite it being at the center of years of Republican attacks on Democrats over security issues.

Though Trump has long expressed affection for authoritarian rulers, it’s the degree to which Trump is eroding U.S. relationships with other countries around the world that is leading some to call for the resignation of his top officials and commanding the focus of spurned foreign leaders."

https://www.politico.com/story/2018/07/16/trump-putin-russia-world-order-724616

"Nous sommes un pays profondément stupide" (Dana Milbank)


Sur le site du Washington Post le chroniqueur Milbank revient sur plusieurs déclarations de Donald Trump. Si le président, selon ses propres termes, est un génie stable, il y a bien des gens qui ne comprennent rien...

 "My fellow Americans, we are a deeply stupid nation.

I know this must be the case because President Trump has repeatedly informed us that we are a “stupid country” — he offered this opinion on at least nine occasions since he launched his campaign for the presidency — and he should know. As he reminded us after his NATO meeting last week, he is a “very stable genius.”

 It is furthermore the president’s highly intelligent opinion we have been led by “stupid people” and “our laws are so corrupt and stupid.” We have been stupid about trade. We have been stupid in dealing with Iraq, Iran, China, Mexico, Canada, Europe and Muslims. We have the “dumbest” immigration laws. Among the many stupid things Trump has identified: White House staffers, the FBI, the National Football League, Democrats, the filibuster and journalists."

https://www.washingtonpost.com/opinions/we-are-a-deeply-stupid-country/2018/07/16/1742acdc-893b-11e8-85ae-511bc1146b0b_story.html?utm_term=.388239421704

Caricature "Make dictators great again"

Caricature de Gatis Sluka, Latvijas Avize, Latvia

Caricature Benedict Donald

Caricature de David Fitzsimmons, The Arizona Star, Tucson, AZ 

 Fitzsimmons réfère bien sûr à Benedict Arnold, le général de l'armée continentale qui a trahi les États-Unis pendant la guerre d'indépendance.

Caricature Vladimir Poutine décore le Bureau ovale

Caricature de Peter Broelman, Australia

dimanche 15 juillet 2018

De la mairie à la Maison Blanche en 2020?


Si avoir été gouverneur d'un état ou occupé un siège au sénat constituent habituellement des tremplins vers la présidence, on envisage jamais qu'un maire d'une grande ville américaine puisse accéder directement à la présidence. La situation évolue et il y a quelques possibilités intéressantes à étudier pour 2020. Il y a déjà un certain temps que je considère Mitch Landrieu comme un politicien solide capable de rassembler.

 "“Cities are powerful forces now, they’re almost like city states,” said Henry Cisneros, who was mayor of San Antonio when, in 1984, he was interviewed to be Walter Mondale’s presidential running mate. “While it is perfectly plausible that a governor, even of a small state, can run for president … why isn’t it plausible that a mayor of a major, global epicenter of power like New York or Los Angeles or Chicago or Seattle or Miami shouldn’t be plausible at the presidential level?”

 In part, the opportunity for Democratic mayors is a product of the party’s failings elsewhere. With Democrats out of power in Washington and in many state capitals, large, heavily Democratic cities have become progressives’ power centers of last resort, with an increasingly diverse media landscape offering exposure to a previously anonymous class of politicians."

  https://www.politico.com/story/2018/07/15/mayors-muscle-into-2020-presidential-race-722203

Caricature chute de l'Occident

Caricature de Patrick Chappatte, The New York Times

samedi 14 juillet 2018

Emmett Till: l'enquête sur son meurtre rouverte après 63 ans


Emmett Till a été enlevé, torturé et assassiné en 1955 pour avoir supposément sifflé en direction d'une femme blanche. Son meurtre aurait motivé Rosa Parks à ne pas céder son siège dans un autobus, il aurait également poussé Martin Luther King jr à l'avant-scène comme dirigeant du boycott de la compagnie de transport et il aurait influencé la rédaction du Civil rights act.. La femme blanche en question a plus tard déclaré que les accusations étaient fausses et après avoir été innocentés par un jury exclusivement blanc deux des suspects confessaient dans une entrevue être les responsables de la mort de Till. Une histoire tordue et horrible sur laquelle on portera bientôt un nouveau regard au plan judiciaire.

 "We know it was a lie because that woman, Carolyn Donham, has since said as much. Emmett Till did not grab her, or make any sexual advances toward her that day. And now that the Justice Department is reopening its investigation into Till's lynching, there is hope that Rob Bryant and J.W. Milam, the men who kidnapped and murdered him, will be convicted for their crimes. We know they are guilty because they confessed in a paid interview with Look magazine in 1956.

 "Well, what else could we do?" Milam is quoted as saying. "When a n----- gets close to mentioning sex with a white woman, he's tired o' living. I'm likely to kill him. Me and my folks fought for this country, and we got some rights."

  https://www.cnn.com/2018/07/13/opinions/the-agonizing-irony-in-emmett-till-case-granderson/index.html

Robert Mueller au coeur du complot?


Alors que Robert Mueller déposait hier douze nouvelles accusations, on apprenait que le piratage du Parti démocrate par des Russes a débuté au moment même où Donald Trump demandait dans un de ses discours enflammés que la Russie dévoile le contenu des quelques 33 000 courriels perdus d'Hillary Clinton... Il y a parfois de ces hasards dans la vie...

 "The president was encouraging a foreign adversary to illegally hack into messages by a former secretary of state that might contain sensitive information, then release them publicly.

Trump had good reason to believe that Russia was listening. The previous month, his son, Donald Jr.; son-in-law, Jared Kushner; and campaign chairman, Paul Manafort, had a meeting at Trump Tower with Russians who they believed were offering damaging information about Clinton. (The meeting wasn’t revealed to the public until 2017, and both the Russians and the Trump campaign officials say no dirt was exchanged.) Prior to the meeting, Trump Jr. had received an email stating that the meeting was “ part of Russia and its government’s support for Mr. Trump.”

Mueller’s indictment offers new evidence that Russia was listening—and acting on Trump’s request. The indictment charges 12 officers of the GRU, Russia’s military-intelligence agency, with hacking intended to interfere with the election."

  https://www.theatlantic.com/politics/archive/2018/07/russia-hacking-trump-mueller/565157/

Le 14ième amendement a 150 ans: on débat encore de l'étendue de sa signification


L'actualité est tellement chargée depuis quelques jours que je n'ai pas eu le temps, ni sur mon carnet ni dans mes interventions dans les médias, de souligner que le 9 juillet on soulignait le 150ième anniversaire du plus long des 27 amendements à la constitution. Proposé à la fin de la guerre de Sécession, mais adopté après la mort de Lincoln alors qu'un président raciste se trouve à la Maison Blanche, cet amendement précise bien des choses concernant les anciens esclaves. Il leur accorde tout d'abord le droit de vote, on modifie ensuite la représentation des états du sud (on attribuait la valeur de 3/5 d'un blanc à un esclave et on augmentait ainsi la démographie du sud pour obtenir une meilleure représentation) et on précise que les états sécessionnistes ne seront pas dédommagés pour la perte de leurs esclaves. Depuis sa rédaction dans un contexte bien particulier, j'ai parfois l'impression qu'on a un peu dénaturé cet amendement dont on ne retient bien souvent que la première section. Avec la révolution industrielle on y a référé pour appuyer les industriels qui souhaitaient freiner le développement des syndicat, on combat qui est toujours d'actualité. "The Atlantic" revient ici sur l'évolution de la signification du précieux texte.

 "To the members of the 39th Congress who framed the Fourteenth Amendment, the cause of the Civil War was clear. It was something called “the Slave Power”—a term which referred to the concessions made by the Philadelphia Framers to the slave states in 1787. Those were (1) the “three-fifths” clause, allowing extra seats in Congress to states with large slave populations; (2) the “electoral college,” which gave slave states undeserved power over the selection of the president; and (3) the principle of equal representation in the Senate, which had come over time to allow the South a veto over the more populous and dynamic North. As a result of this rigged system, the South had since 1790 dominated the White House, Congress, and the Supreme Court. And in the years after the 1857 Dred Scott decision, “the slavocracy” had begun making a legal argument that even “free states” must now be required to permit and protect slavery within their borders. The pro-Southern Supreme Court seemed quite likely to back such a radical new rule. “We shall lie down pleasantly dreaming that the people of Missouri are on the verge of making their state free,” Abraham Lincoln warned in 1858, “and we shall awake to the reality, instead, that the Supreme Court has made Illinois a slave state.”"

  https://www.theatlantic.com/politics/archive/2018/07/the-struggle-over-the-meaning-of-the-14th-amendment-continues/564722/

Caricature Brett Kavanaugh un candidat au goût de Donald Trump

Caricature de Dave Granlund, PoliticalCartoons.com

Caricature Donald Trump au Royaume-Uni

Caricature de Peter Broelman, Australia

Caricature Donald Trump visite un ami

Caricature de Tom Janssen, The Netherlands

Donald Trump se rapproche de Vladimir Poutine malgré les nouvelles accusations de l'enquête Mueller


Rien ne semble modérer les ardeurs de Donald Trump dans son désir de se rapprocher du président russe. Même si l'enquête de Robert Mueller a déposé des accusations contre une douzaine de membres des services de renseignements russes, la rencontre de lundi est maintenue. Vladimir Poutine n'est pas considéré comme un ennemi par le président américain, tout au plus un rival.

 "In the hours after the Justice Department’s indictments were filed, lawmakers from both parties urgently called on Trump to confront Putin, force Russia to change course and guard against another intrusion in future elections.

“These revelations add to a body of evidence confirming an extensive plot by Vladimir Putin’s government to attack the 2016 election, sow chaos and dissension among the American electorate, and undermine faith in our democracy,” Sen. John McCain (R-Ariz.) said in a statement. “If President Trump is not prepared to hold Putin accountable, the summit in Helsinki should not move forward.”

https://www.washingtonpost.com/politics/after-being-told-of-russia-indictments-trump-still-aspired-to-be-friends-with-putin/2018/07/13/c24f5420-86b8-11e8-8553-a3ce89036c78_story.html?utm_term=.b5989b02025a

Caricature Donald Trump à l'étranger

Caricature de Taylor Jones, Politicalcartoons.com

Les Tours de Laliberté migrent: rejoignez-moi sur le site du Journal de Québec et du Journal de Montréal

Depuis un certain temps je me demandais comment faire évoluer mon petit carnet web. La réponse m'est parvenue par le biais d'u...