Tout le monde sait bien qu'en 2014 les conseillers du président américain peuvent le joindre 24 heures sur 24 peu importe où il se trouve. Même l'avion présidentiel Air Force One est doté d'une très bonne salle de conférence. Malgré les possibilités que permettent les moyens de communication modernes, ils sont plusieurs à reprocher au président son attitude dans la gestion de certaines crises. Son prédécesseur George W. Bush a également goûté à cette médecine. Ne serait-ce que pour la valeur du symbole, qu'il ne faut pas sous-estimer, Barack Obama ne prend aucune chance dans ses communications au sujet de la crise qui entoure la gestion des premiers cas d'Ebola aux États-Unis. Mais avant de favoriser une intervention officielle du président, il faut souvent peser le pour et le contre. petit topo sur le site de POLITICO.
"Optics, which Obama and his staff dismiss as never being much on their minds, always means a lot to this White House. Aides in the past have pointed out that any abrupt changes to Obama’s schedule have the potential to convey more of a crisis than may exist.
But facing the risk of embarrassing juxtapositions of dying health care workers while Obama was out campaigning, that’s exactly what they did."
La suite:
http://www.politico.com/story/2014/10/president-obama-ebola-response-111917.html?hp=f3
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire