lundi 1 décembre 2014

Université de la Virginie et viol collectif: Thomas Jefferson doit se retourner dans sa tombe

Cette image est celle qui coiffe l'article du Rolling Stone, elle st de John Ritter


Le troisième président des États-Unis et principal rédacteur de la déclaration d'indépendance souhaitait qu'on se souvienne d'abord de lui pour la fondation de l'Université de la Virginie. Serait-il toujours fier de "son" institution après les récents incidents. Une étudiante a récemment informé les autorités de l'institution qu'elle avait été violé par un groupe appartenant à une fraternité. Comme plusieurs autres universités, l'Université de la Virginie doit composer avec un nombre croissant de cas du même genre et ils sont plusieurs à se demander si les dirigeants ne s'inquiètent pas plus de leur réputation que de la détresse des femmes qui osent dénoncer. Au coeur de tout ce débat, la gestion des fameuses fraternités. L'histoire principale des derniers jours se retrouve dans les pages du Rolling Stone Magazine et le Washington Post y consacre également un article en insistant un peu plus sur les fraternités et les réactions de l'institution.

  http://www.rollingstone.com/culture/features/a-rape-on-campus-20141119

http://www.washingtonpost.com/local/boozing-hazing-and-sexual-assault-allegations-have-u-vas-entrenched-fraternity-culture-at-tipping-point/2014/11/29/e6b5a8ee-75a2-11e4-bd1b-03009bd3e984_story.html

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