L'engouement est aussi important que pour 2008, mais le candidat gagnant est plus controversé. Cependant, pas plus qu'en 2008, nous n'organisons pas le projet pour cautionner une idéologie ou un autre, un parti ou un autre. Plusieurs des participants ont suivi, ou suivront des cours d'histoire et/ou de politique et se mêler à la foule comme observateurs peut constituer une expérience très concrète à récupérer dans une démarche pédagogique.
Nous n'allons donc pas à Washington pour appuyer Donald Trump ou manifester contre son élection, quelque part c'est la société américaine qui est sous la loupe et le gigantisme d'une investiture présidentielle représente un intérêt certain. Il s'agit donc ici de ma manière de récupérer la motivation des étudiants pour pousser la réflexion plus loin, aller à Washington est d'abord leur initiative!
Voici un extrait du de texte de Ian Bussières (la totalité de son topo se trouve au bas du texte sur Mme St-Pierre):
"«Pour des raisons inverses à celles de l'investiture d'Obama en 2008, les jeunes sont aussi excités d'assister à celle de Donald Trump. En classe, ils étaient aussi intéressés en raison de ce que Trump a pu dire et des controverses qu'il a provoquées. C'est tellement un candidat hors-norme. Jamais on n'avait vu un président aller aussi loin dans les propos tenus et mentir de façon aussi éhontée à la population», analyse l'enseignant."
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201701/16/01-5060126-christine-st-pierre-a-linvestiture-de-trump.php
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